
Risques naturels
Sécurité
Bien que les risques soient anticipés et que les aménagements soient adaptés, Durtal n’est pas à l’abri d’incidents imprévus liés à la météo ou au secteur industriel… ni aux invasions d’insectes. Selon l’adage « Mieux vaut prévenir que guérir », voici les gestes à adopter en cas de dangers avérés.
Les documents à consulter
Le DICRIM
Réalisé par la Mairie de Durtal, le Document d’Information Communal sur les Risques Majeurs (DICRIM) informe tous les habitants des risques naturels et technologiques auxquels la commune peut être sujette. Il recense :
- les risques plausibles sur le territoire communal,
- les moyens mis en œuvre pour la prévention et la protection de la population et des infrastructures,
- les contacts à alerter,
- les consignes de sécurité en cas de danger.
Le PPR
Élaboré par la Préfecture du Maine-et-Loire en concertation avec les collectivités locales, le Plan de Prévention des Risques naturels (PPR) :
- règlemente l’utilisation et l’occupation des sols à l’échelle communale,
- présente les zones plus ou moins exposées au niveau départemental,
- définit les mesures de prévention et de sécurité face aux dangers encourus.
Sur le département, 5 risques sont évalués :
Portail de la prévention risques majeurs
Synthèse des risques sur Durtal
Informations acquéreurs/locataires
Lutter contre les insectes nuisibles
Destruction de nids

Suite à son introduction accidentelle dans le sud-ouest de la France (Lot-et-Garonne) en 2004, le frelon prédateur d’abeilles originaire d’Asie s’est très vite répandu sur le territoire français. En plus de son impact sur l’apiculture et la biodiversité, les risques vis-à-vis de la santé publique ont fait naître de nombreuses interrogations de la part des populations et des collectivités.
Avec l’arrivée du printemps et des beaux-jours, les reines de frelons asiatiques vont commencer à installer leur pré-nid fréquemment à proximité immédiate des habitations. De la taille d’une balle de ping-pong au début du printemps jusqu’à celle d’un melon vers la mi-juin, il passe souvent inaperçu. Ce premier nid sert à pondre les ouvriers qui fabriqueront ensuite le nid d’habitation.
La destruction d’un nid à cette saison évite le développement de la colonie et réduit l’impact de l’espèce sur les abeilles, la biodiversité et diminue le risque de piqûres. Regardez chez vous (rebords de toit, de fenêtre, cabanon de jardins, préaux, vérandas,…).
Si vous découvrez un nid, prévenez immédiatement la mairie au 02 41 76 30 24 qui établira un diagnostic et prendra en charge 50% des frais d’intervention par une entreprise spécialisée.
Attention! Ne faites pas intervenir une entreprise par vous même car dans ce cas, la commune ne pourra pas vous rembourser.
Les chenilles attaquent, la FDGDON 49 contre-attaque
- la défoliation : les végétaux s’affaiblissent et subissent une perte d’épanouissement ;
- nombreuses réactions allergiques : approcher une chenille, vêtue de poils urticants, peut provoquer des démangeaisons, voire des symptômes plus graves. Il est donc indispensable de se protéger intégralement lors de toute manipulation de nid.
Pour contrer cette prolifération, la FDGDON 49 (Fédération Départementale des Groupements de Défense contre les Organismes Nuisibles) propose une lutte préventive ou curative.
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